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Hier soir, le gratin du monde culturel new-yorkais était présent pour l'inauguration de la magnifique boutique d'oeuvres d'art de Mademoiselle Francoise d'Aurilles, la " Hand Picture Store ". Artiste universellement connue dans son pays, elle a quitté le vieux continent pour venir nous offrir ses chefs d'oeuvres. Mlle d'Aurilles nous a présenté sa dernière création, un tryptique nommé " Levant, Zenith, Ponant " d'une pureté et d'une ligne remarquables. |
Extrait de l' Herald Tribune de New-York (Usa) en date du samedi 25 novembre 1967, pages des affaires mondaines
Rubrique / Sommaire Revue
De notre correspondant à New-York, Alfred Pitlory Dans une nouvelle boutique appelée la " Hand Picture Store ", se tenait hier soir une nouvelle réunion de tout le gratin du monde culturel new-yorkais. La propriétaire de cette boutique, une francaise nommée Francoise d'Aurilles, a montré toute l'horreur que le vieux continent peut nous donner ! Comment décrire la stuppeur de nombreux critiques sérieux en découvrant la dernière abomination de Mademoiselle d'Aurilles, un tryptique nommé " Levant, Zenith, Ponant ". Gluant aurait du être son nom ! Nos comptemporains désirent de l'Art et non des grafitis ! |
Extrait du Whasington Letter's (Usa) en date du samedi 25 novembre 1967, pages culturelles
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